Le lapin de Pâques

La venue du lièvre ou du lapin est une tradition…

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Un vieux dicton des mères de famille chez les peuples d’origine teutonique, est que le lièvre, ou plutôt le pond à Pâques les œœufs rouges pour les bons enfants, et en diverses contrées, même encore aujourd’hui, en Belgique, les œœufs de Pâques sont accompagnés de lapins, chats, pigeons, etc…, en sucre rouge.

En Souabe, le lapin cache ses œœufs dans les jardins. Dans certaines contrées en France, en Alsace, on lui fait un petit jardinet de branches de sapin où il vient déposer ses dons.

En Thuringe, il pond ses œœufs dans divers coins de la maison, au grenier, dans la cave, etc…

Des savants n’ont pas manqué de se demander pourquoi les bonnes femmes font pondre des œœufs à un animal qui, assurément, n’en a jamais pu pondre. L’attribution d’œœufs au lapin a sans doute quelque chose d’assez singulier, mais, mise en relation avec une fête consacrée à la renaissance de la nature, à la vie, à la fécondité, elle n’a rien d’extraordinaire. Il est de coutume de préparer, la veille du dimanche de Pâques, un nid dans le jardin. On y dépose, la plupart du temps, une carotte. Il s’agit là d’un cadeau pour le lièvre de Pâques.

Durant la nuit, le lièvre de Pâques va faire le tour de toutes les maisons afin de déposer des œufs en chocolat et autres confiseries dans les nids.
Les enfants sont ravis, à leur réveil, de faire la « chasse aux œufs »

 

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