Cette période transitoire, entre l’hiver qui se termine et le printemps qui annonce le renouveau, avec ces giboulées… Voici un petit poème suivi d’une petite comptine…
GIBOULÉES DE MARS
Le soleil est fuyant
Dans le ciel en bataille
Trop de nuages filants
Cachent sa face et l’assaillent
Ils vont noirs et le vent
Les envoie sur un rail
Qui les verra pleurant
Le sang de leurs grisailles
La terre qui en attend
L’eau pure pour les semailles
Se moque de mes tourments
Prête à en faire ripaille
Alors moi qui me sens
Des envies sans chandail
J’accepte obligeamment
Que les nuages s’en aillent
Robert Casanova…
Mais la plus connue c’est bien celle-ci
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